Dans 90 % des cas, ces formations siègent au niveau du cuir chevelu.
Elles se développent souvent à la puberté, et des cas familiaux sont parfois décrits (transmission autosomique dominante).
Contrairement aux kystes épidermiques, elles ont une paroi très épaisse et dure, de couleur gris-blanc. Lors de leur développement, elles exercent une pression importante entraînant la destruction du follicule pileux.
La rupture se produit rarement. Un traumatisme externe peut provoquer la libération du contenu dans le derme avoisinant, qui devient inflammatoire, rouge, sensible à la palpation.
Le traitement, à visée esthétique, repose sur l’excision chirurgicale sous anesthésie locale.
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