Elles ont pris une place significative – encore insuffisante pour certains – dans l’énorme masse des prescriptions de thyroxine (34 millions de boîtes vendues en 2012, avec une estimation de 2,9 millions de personnes traitées en 2012)rédigées en France chaque année. Progressivement, patients et médecins ont appris à gérer l’initiation des traitements sous forme de générique et, moins facilement il est vrai, le passage de la thyroxine de spécialité originale au générique.Dans un certain nombre de cas, la substitution, jugée risquée ou démontrée inadaptable,est identifiée comme inacceptable par le prescripteur. Mais récemment une pénurie, ou menace de pénurie, de la thyroxine de spécialité est survenue; elle a réactualisé la problématique du générique de la thyroxine, d’où ce nouveau regard sur la question.
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